• Vu de face book

     

    L’image contient peut-être : plante, fleur et nature

    2 février 2013

    Cher Monsieur, 
    J'ai préféré espacer mes messages. J'ai peur. La peur ne se justifie peut-être pas puisque vous ne semblez pas lire mes messages. Le "vu" n'apparaît pas comme lorsqu'un message est lu par le destinataire. Ma peur ne devrait pas se justifier et je ne devrais pas continuer à vous écrire. Je me dis qu'un jour, vous ouvrirez votre messagerie Face-book et vous verrez tous ces messages. Peut-être serez-vous étonné ? Peut-être, les supprimerez-vous sans les lire ? Je comprendrai votre réaction. Je m'impose. Non. Vous aurez la possibilité de supprimer les messages comme je l'écris et en plus vous aurez la possibilité  de me bloquer sur face-book. Le blocage est une façon d'évincer à tout jamais quelqu'un de de ce  réseau social. En tous les cas, ma peur ne venait pas de vous.

     J'évoque cette peur parce qu'elle est une sorte de poison. Elle attaque le centre vital de la vie et le paralyse par à coups.  Je ne supporte plus de vivre un tel enfer. Et la raison de cet enfer, je l'ai découverte, il n'y a pas si longtemps. J'ai peur que l'on m'arrache à la présence divine. La présence divine est une entité extérieure à soi et qui est reliée à soi. Elle est reliée à soi, par ce que j'appelle la "greffe". La "greffe", c'est cette chose immense en soi qui grandit au contact de la présence divine. La présence divine agit sur la greffe et c'est ainsi qu'elle engendre les guérisons et l'apaisement. Elle engendre notamment la chaleur autour de soi et en soi. Elle engendre  la joie que je ressens de plus en plus souvent. Elle doit notamment  induire la paix. Je n'ai pas encore sondé la paix. L'enfer de la peur m'empêche de découvrir la paix intérieure.  Je ne désespère pas. Il ne faut jamais désespérer. 

    La présence divine est pour moi comme une mère. Je me dis que c'est avec elle que j'ai rendez-vous le soir. C'est un rendez-vous très agréable. Il nous fait entrer dans un monde différent de l'autre monde. C'est comme si deux univers étaient  côte à côte, sans se voir, sans communiquer. Et nous pouvons ainsi passer d'un monde à l'autre sans que l'on s'en aperçoive vraiment. Ce n'est qu'une fois que les portes ont été franchises que l'on peut s'en apercevoir. La lumière est différente. La chaleur est différente. Les images sont différentes. Et un univers nouveau s'ouvre devant soi. Celui-ci est indescriptible. 

    Bien sincèrement. 

     

     

     

     


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